Coquine Andréa !
En ce jour de farces du premier avril, Andréa a conseillé à son frère Andréb de mettre un poisson dans le dos de Maja.
- Si tu espères m'avoir avec ça, c'est raté, s'exclame Maja d'un ton boudeur en le voyant arriver derrière elle.
Toutefois, ce qu'Andréb n'avait pas prévu, c'est que sa soeur allait profiter de l'occasion pour lui en mettre un à lui aussi !
Andréa et Qanik ont bien ri, et même Maja a arrêté de bouder (c'est rare !) pour éclater de rire en voyant la mine désapointée (mais amusée) d'Andréb.
J'espère que vous-mêmes n'avez pas eu trop de poissons dans vos dos :-)
Bonne journée,
♥♥♥
Encore un pantalon ... et du recyclage.
La passion de Natalka, c'est de photographier des animaux et sa maman lui prête souvent son appareil photo.
Mais il lui fallait une tenue adéquate pour ses randonnées photo, alors je lui ai cousu un pantalon cargo (pas un des ces petits trucs étroits à la mode, si serrés qu'ils rendraient impossible tout crapahutage forestier nécessaire à la photo animalière, mais un bon vrai pantalon cargo large et confortable comme j'en porte moi même dans nos randonnées).
Et comme vous pouvez le voir à son sourire, ma lutine est enchantée !
(le t-shirt n'est pas de moi, il est de Rosemarie Müller, la fabricante des lutins Wichtel).
J'ai souvent expliqué que je couds presque uniquement sur des tissus de récupération ; c'est encore le cas ici puisque ce pantalon a été fait dans un pantalon 18 mois acheté d'occasion en friperie. Voici ce qu'il en reste : pour ainsi dire rien ! J'ai même utilisé les doublures des poches pour faire celle de Natalka.
Mais il n'y a pas que cela dans mes recyclages, comme vous le voyez ci-dessus : j'utilise un restant de savon comme craie pour tracer les patrons, la cordelette du pantalon provient d'un store vénitien, enroulée autour d'un carton de boîte d'emballage, et la boite qui contient les épingles est une ancienne boite de bonbons à la menthe ! Même le ruban dont je me suis servie pour faire les petites "étiquettes" du pantalon provient d'un vide-grenier.
Toutefois, je dois préciser que je n'aurais pas aussi bien réussi ce pantalon sans mon assistante qui n'a pas été avare de ses conseils :
Bonne journée :-)
♥♥♥
Bonbons et devinette
Pistache et Cerise ont un point commun : ils aiment les bonbons.
Mais ils aiment surtout les bonbons de cette marque là (la marque 'Bonbons", c'est très original !) car ils sont emballés dans des papiers sur lequels il y a une petite blague ou une devinette.
Or, sur l'un d'entre eux, nos deux gourmands ont lu cette question :
- Que dit un policier qui arrête des bonbons ?
Comme on peut le voir sur cette photo, ils ont du mal à trouver la réponse !
Si vous ne la trouvez pas non plus, je vous la mets ci-dessous ; à l'envers comme ça se faisait autrefois dans les magazines.... Comme au bon vieux temps, il vous suffira de tourner votre écran pour tenter de la lire ; si vous êtes sur écran tactile il vous faudra faire très vite avant que l'écran ne vous remette l'image dans le bon sens et si vous êtes sur écran fixe, faites le poirier !! 
(J'ai fabriqué ce sac de bonbons en modifiant sur Corel Paint Shop Pro une image d'emballage de bonbons d'une marque bien connue, impirmé et recouvert de ruban adhésif ).
Bonne journée :-)
♥♥♥
À vot' bon coeur M'sieur dame
Dès que j'ai eu terminé de lui coudre ce pantalon "de poulbot", Benjamin a pris sa guitare et s'est écrié : "à votre bon coeur, Msieurs dames"...!
Le revers de la poche de jambe est doublé du même tissu que le passepoil des poches... la classe pour un petit mendiant !!
- Vous avez vu ? je joue tellement mal de la guitare que Guyloup m'a donné des sous pour que j'arrête ! Super, j'ai de quoi aller m'acheter un gros gâteau au chocolat ! a-t-il dit en comptant les gains du jour.
Pour qui ne le saurait pas : un "poulbot" est le nom des gamins parisiens du début du 20e siècle. Ils tiennent leur nom de Francis Poulbot, un dessinateur et affichiste de Montmartre qui créé de nombreuses illustrations représentant des titis parisiens aux grands yeux.
Parmi elles, une illustration de Gavroche, le célèbre personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo. Mais si Francisque Poulbot a marqué Montmartre c’est également par son engagement dans le quartier. Très attaché à la vie montmartroise, Poulbot s’associe, en 1920-1921, à la création de la « République de Montmartre ».
En 1923, pour venir en aide aux enfants nécessiteux de Montmartre, il ouvre Les P’tits Poulbots, un dispensaire rue Lepic, transformé en association loi de 1901 en 1939 et qui existe toujours.
Il meurt dans sa maison, au 13 avenue Junot à Montmartre le 16 septembre 1946 et est inhumé au cimetière de Montmartre. Devant son domicile, les promeneurs pourront lever les yeux et verront ainsi des p’tits Poulbot représentés sur la façade.
Bonne journée :-)
♥♥♥
PS : Le patron du pantalon est de mon amie ukrainienne Allamariya qui est une couturière professionnelle de très grand talent, tout autant qu'une excellente photographe, comme vous pourrez le voir en cliquant sur le lien, et ceci malgré les missiles et les bombes qui tombent et passent autour d'elle et ses enfants, sans compter les coupures de courant qui ont pourri leur hiver... miraculeusement peu froid cette année (une chance dans leur malheur).
Pas drôle l'hiver sous le tipi
Ce n'est pas drôle l'hiver sous le tipi pour les enfants.... Atoka et Minaki ont hâte que le printemps revienne afin de pouvoir gambader en forêt.
Et moi aussi !
Nous sommes dans ce que les amérindiens appelaient autrefois la saison du réveil, qui comprenait en gros les mois de mars et avril, appelés respectivement le temps des grandes tempêtes de neige et le temps où la glace craque (revoir les détails ici : http://www.milleet1passions.com/archives/2018/12/08/36926940.html ).
Bonne journée :-)
♥♥♥
Qu'est-ce que vous avez au chocolat ?
En ce samedi neigeux, quelques lutins sont allés dépenser une partie de leur argent de poche chez McDolls, endroit qu'on peut presque qualifier de paradis des gourmands.
Lorsqu'il eu tendu sa part de tarte aux myrtilles à Qanik, Monsieur Logan, le chef pâtissier, a demandé à Gepetto ce qu'il voulait prendre.
- Qu'est-ce que vous avez au chocolat ?
- Aujourd'hui il y a du gâteau fondant au chocolat, du gâteau opéra, des brownies, du gâteau double fudge, des donuts au chocolat, ainsi que du chocolat chaud, du chocolat froid, du milk-shake au chocolat.
Gepetto s'en lèche déjà les lèvres.... mais ne sais pas quoi choisir tellement il hésite entre chaque gâteau.
- Si vous ne voulez pas qu'on passe tout l'après-midi à attendre son choix, il faudra lui mettre un peu de tout sur une grande assiette, s'écrie Andréa en riant.
En effet, c'était un choix cornélien pour "Gepetto Chocapic", notre gourmand de chocolat !
Il a fini par opter pour une part de chocolat double fudge accompagné d'un milk-shake (au chocolat, bien sûr !).
Ils ont passé un bon moment à se régaler et à rire ensemble comme des bons copains savent le faire, avant de rentrer chez eux juste à temps pour le début de la tempête de neige.
Eh oui, ici, ce n'est pas encore le printemps !
Profitez bien du votre s'il est commencé chez vous.
Bon dimanche :-)
♥♥♥
NB : les éléments du restaurant proviennent du kit 'Retro diner" de Our Generation trouvé d'occasion sur une petite annonce ; plusieurs endroits étaient un peu esquintés et rayés ce qui ne me gênait pas puisque je voulais les repeindre. Je les ai démontés de leur affreuse base à petits carreaux rose vif et noir, et je les ai repeints à la bombe "spéciale plastique" afin de masquer la couleur orange des sièges et le rose vif de la base du comptoir. Je me demande parfois ce qui passe par la tête des concepteurs de ces jouets lorsqu'ils choisissent les couleurs !
Changement climatique, cacaoyers et vieilles granges
J'ai surpris une discussion entre Natalka et Gepetto (surnommé Chocapic à cause de sa passion pour le chocolat).
- Hier soir, j'ai entendu mon oncle dire qu'à cause des changements climatiques il va faire beaucoup plus chaud ici ; "comme dans les pays du sud" disait-il.
- Je sais, j'ai entendu ma mère en parler aussi, et ça l'inquiète, a répondu la fillette.
- Pas moi ! Parce que s'il fait plus chaud quand je serai grand, à la ferme, je planterai des cacaoyers à la place du maïs, comme ça je pourrai fabriquer moi-même du chocolat au lieu d'aller travailler dans une usine qui en fabrique.
- Super ! On aura tous autant de chocolat qu'on voudra !
- Oui, mais il faudra me l'acheter parce que je le vendrai, je ne le donnerai pas.
- Même à moi ? interroge Natalka.
- Si, à toi, je t'en donnerai gratuitement !
Natalka et Gepetto se trouvent devant une superbe vieille grange de la fin du 19e siècle ou début du 20e comme il en existe encore quelques unes dans le sud du Québec.
Je cite un article de Radio-Canada, dont le titre est "les vieilles granges, un patrimoine en péril" :
...[ Mais les granges et les étables en bois finissent par disparaître parce qu'elles n'ont plus d'utilité. Elles sont inadéquates pour l'agriculture moderne et spécialisée comme le porc ou les grandes céréales. Souvent devenues la propriété de rentiers, elles sont un fardeau économique à l'entretien. L'impôt foncier et les assurances représentent environ 2000 $, des montants considérables pour qui n'a plus de revenus. Face à la décadence du patrimoine agricole, des granges ou étables sont protégées par la Loi sur le Patrimoine culturel. Le gouvernement ou la municipalité peut accorder le statut légal et, du coup, en interdire la démolition. Dans ce cas, le bâtiment est classé « monument historique ».
Cinq granges ou étables profitent de cette protection au Québec : * *
- La Grange octogonale Adolphe-Gagnon est située dans le Bas-Saint-Laurent, à Saint-Fabien. C'est la seule à posséder quatre niveaux, un concept futuriste de 1888 qui a d'ailleurs valu à la veuve du propriétaire Gagnon le Mérite agricole.
- La grange-écurie des Prêtres Chaumont est située au cœur de Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Basses-Laurentides. On la remarque à peine, mais elle est particulière avec son toit à deux versants qui est asymétrique.
- En Montérégie, à Saint-Ignace-de-Stanbridge, la grange Alexander-Solomon Walbridge est unique avec son toit en forme de collerette.
- En Estrie, à Austin, la grange circulaire Damase-Amédée-Dufresne a été construite d'après un plan populaire aux États-Unis au 19e siècle.
- Dans Charlevoix, à Saint-Urbain, la grange Lajoie possède un toit de chaume. Relique des techniques de construction sous le Régime français quoiqu'utilisée également après la conquête. ]...
** Note personnelle : le Québec étant grand comme 5 fois la France, ça ne fait pas beaucoup de vieille granges protégées.
Lorsque le temps sera plus clément (que la neige aura fondu et le décor reverdi), nous irons voir la magnifique grange circulaire (réellement construite toute en rond) qui est dans notre région ; nul doute que quelques lutins voudront nous y accompagner et que vous verrez les photos de cette visite !
En attendant, je vous invite à aller croquer un carré de chocolat en pensant aux rêves cacaotés de Chocapic ! 
Bonne journée :-)
♥♥♥
Repassage, suite et fin
Suite à la panne de Canalblog, vous n'avez pas eu les avis de publication du début de cette histoire, de ce fait je la publie en entier aujourd'hui puisque tout semble fonctionner à nouveau correctement chez CB.
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Grandma faisait du repassage cet après-midi et comme souvent, Angéla l'aidait car elle aime plier le linge tout propre qui sent bon.
Les grandes jumelles arrivent dans la cuisine pour prendre une pomme afin de calmer leur appétit en attendant le goûter et voyant les piles bien repassées, Grenadine demande :
- Pourquoi faut-il repasser les vêtements puisqu'ils deviennent froissés dès qu'on les porte ?
- Je vais te répondre par une autre question : pourquoi vais-je faire à manger ce soir puisque nous avons déjà tous mangé ce matin ?
- Ah non alors, ça ce n'est pareil ! s'exclame Angéla.
- Mais si, c'est un peu pareil : la vie est pleine de choses qu'il faut faire et refaire sans cesse. Toutefois, si vous voulez, on peut arrêter tout ça : j'arrête de repasser et j'arrête de faire à manger, propose Grandma d'un air taquin.
Les jumelles et Angéla se sont mises à rire car elles savent bien que Grandma plaisante. Et le repassage a continué à se faire dans la douce chaleur de la cuisine pendant que la neige tombait dehors en fins flocons.
Après le départ de Grenadine et Mélissa, c'est Angéla qui a finalement quitté la cuisine à son tour et Grandma a continué seule le repassage.
Un moment plus tard, elle a vu débouler les deux autres jumelles, Julia et Grabrielle, les cadettes, qui lui ont demandé d'un air inquiet :
- Dis Grandma, c'est vrai que tu ne vas plus nous faire à manger parce que tu ne veux plus repasser parce que nous froissons nos vêtements quand on les met ?
- Bien sûr que non ! Je finis le repassage et on va manger juste après ; regardez donc, le poulet est en train de rôtir dans la cheminée derrière vous.
Alors Gabrielle dit à sa soeur :
- Je t'avais bien dit que Grenadine nous faisait une blague en nous racontant ça. Allez, viens, on va aller faire la même blague à Janot et Janette maintenant !
Grandma les a regardées partir en riant toute seule.
- J'ai l'impression que je ne vais pas tarder à voir les autres arriver dans la cuisine à leur tour !!!
Et ça n'a pas manqué ! Le panier à linge était enfin vide quand les benjamins de la fratrie, Janot et Janette, sont arrivés.
- Dis, Grandma, c'est vrai que tu ne nous donneras plus jamais à manger si on froisse nos vêtements ?
- Non, ce n'est pas vrai, c'est une farce que vous ont faite vos grandes soeurs ; toutefois, si elles continuent comme ça, et que je ne peux pas finir le repassage, c'est certain que personne ne va manger ce soir si je n'ai pas le temps de préparer le repas !
- Même nous ? demande Janette.
- Pas vous, mes poussins, je ne voudrais pas vous voir tomber d'inanition quand même !!
Les deux petits bousculent le panier à linge pour grimper sur la chaise et sauter dans les bras de Grandma.
- Tu es la plus gentille grand-mère du monde, lui disent-ils en l'embrassant.
Est-ce qu'entendre un si gentil compliment ne valait pas une longue séance de repassage ?!
Grandma a finalement a préparé le repas pendant que les grandes soeurs rangeaient le linge repassé dans les placards. La soirée fut joyeuse autour d'une tablée heureuse de se régaler d'un bon souper en racontant les blagues qui avaient été faites aux plus petits cet après-midi.
Bonne journée :-)
♥♥♥
C'est le printemps !
Photo prise aujourd'hui 20 mars, premier jour du printemps....
Ce n'est pas tout à fait l'image que se font les français du printemps, mais ici c'est comme ça : on porte toujours des manteaux, mais on commence à pouvoir les garder ouverts !!
Bon printemps, et pour commencer : bonne journée :-)
♥♥♥
En retenue !
Je ne sais pas ce que les 4 malicieux larrons ont bien pu dire ou faire comme bêtises ce matin à l'école, mais au lieu d'aller jouer avec les autres camarades dehors durant la récréation, ils ont du rester en classe et conjuguer quelques verbes du premier groupe au présent.
Toutefois, si j'étais à la place de la maîtresse, je ne leur tournerais pas le dos parce qu'ils ne semblent vraiment l'air très contrits ni brimés par leur punition !!
Bonne journée.... tout au moins si, contrairement à mes publications du 15 (ici) et du 16 mars (ici), vous recevez les notifications de nouvelle publication. Merci Canalblog, une fois de plus :-(
♥♥♥
Gâteau(x) au chocolat et gourmandise (positive)
Qu'y a-t-il de meilleur qu'un gâteau au chocolat ?
Deux gâteaux au chocolat, bien sûr ! Et surtout quand ils sont dégustés entre amis.
Ce n'est pas de la gourmandise, c'est de la convivialité :-)
Que pensez-vous de cette jolie définition de la gourmandise que j'ai lue un jour, ou entendu je ne sais plus où : La gourmandise c'est quand les saveurs se transforment en émotion.
Savez-vous qu'en anglais, il est impossible de traduire "un gourmand" ou "la gourmandise" tel que nous l'entendons ci-dessus, c'est à dire de manière positive ? eh non, ça n'existe pas dans la langue de Shakespeare ; les seuls mots existants sont glutton ou gluttonous qui se traduit par glouton et goulu, ou greedy, qui se traduit à la fois par goinfre, vorace et avare. Ce sont des mots qui ne sont jamais positifs dans leur notion. Il faut alors utiliser le mot français "gourmand" qui a alors une petite conotation snob car c'est une notion relativement récente. Eh oui, la gastronomie de nos amis anglo-saxons n'a jamais vraiment incité à la véritable délicate gourmandise !!
Bonne journée :-)
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Voulez-vous venir jouer avec nous ?
Voulez-vous venir jouer à la dînette avec nous ? vous demandent Capucine et Fripette.
Les petits ours en peluche font partie de ma collection de Teddy Bears "anciens" ; comme ces lutines sont très soigneuses, je n'ai pas hésité à les leur confier !
Bonne journée :-)
♥♥♥
Capucine est une Masterpiece Europe Edition par Rosemarie Müller, n° 084/360 de 2009, moule Bubi, customisée avec une perruque Müller Wichtel. Sa petite soeur Fripette est un modèle unique de Rosemarie Müller du nom de Berit - 25 cm - moule Maxi - Plus d'infos : http://www.milleet1passions.com/archives/2022/01/07/39303562.html
Promenade dominicale
Cet après-midi, je baguenaudais tranquillement autour de la maison pour prendre l'air (et espérer que la couche de neige ait un peu fondu !) lorsque j'ai vu passer les lutins des bois qui faisaient tous ensemble une petite promenade dominicale.
Si la photo vous plaît, je vous propose de la voir en grand format 1920 pixels ou de la télécharger, en cliquant ici : IMG_9058_1920
Bonne journée :-)
♥♥♥
La piqûre (suite et fin !!)
Andréa jouait avec sa poupée quand Pistache, son petit frère, est entré dans sa chambre.
- Tu veux venir jouer avec moi sur la PlayStation ?
- Je ne peux pas, je suis occupée, tu vois bien.
- Ah ! tant pis.
Andréa a une idée :
- Attends : tu veux bien jouer au docteur avec moi ? je serai le docteur et tu seras malade.
- Je veux bien mais je ne veux pas être le malade avec des piqûres, je veux être le docteur.
- Ce n'est pas possible, tu es le plus petit et les docteurs ne sont jamais des petits !
- Ça ne m'intéresse pas : je n'aime pas les piqûres, ça fait trop mal. Je vais demander à Andreb s'il veut jouer avec moi.
- Mais ce n'est pas une vraie piqûre, c'est pour faire semblant, il n'y a pas d'aiguille ! Et puis, si tu joues avec moi et que je suis le docteur, je promets que je ne tricherai pas et que je te laisserai gagner à la PlayStation.
Cette fois, Pistache s'est laissé convaincre. Andréa l'a fait déchausser et monter sur la table à langer, puis elle fait semblant de commencer sa consultation.
- Oh la la, ça ne va pas du tout, il te faut absolument une piqûre pour guérir.
- Pourquoi, j'ai quoi comme maladie ?
- Je ne sais pas ce que tu as mais je sais qu'il faut vraiment que je te fasse une piqûre.
Docile, Pistache relève sa manche et Andréa fait ENFIN semblant de faire sa piqûre tant espérée !
- Tu pourrais crier un peu ? s'écrie-t-elle.
- Pourquoi ? puisque ça ne me fait pas mal.
- Parce que ça ferait plus "vrai" !
Une fois la "consultation médicale" terminée, le petit fait un câlin à sa soeur et déclare :
- Je n'ai pas eu mal du tout quand tu as fait la piqûre !
- C'est sûrement parce que je suis une bonne docteure, a répondu Andréa en lui rendant son câlin.
- Bon, maintenant on va jouer à la PlayStation, hein ? Et tu n'oublies pas que tu as promis de ne pas tricher et de me laisser gagner, a rappelé Pistache.
- J'ai promis et je tiens toujours mes promesses. Allez, on y va !
Ils ont fait une partie endiablée tous les deux, leurs éclats de rire retentissaient dans toute la maison. Et comme promis, Andréa a laissé gagner son petit frère, même si l'envie de le battre l'a souvent tentée. Mais elle sait qu'on doit toujours tenir ses promesses.
Bonne journée :-)
♥♥♥
PS : j'ai failli ne pas pouvoir terminer l'histoire car mon assistante féline avait décrété que c'était l'heure de la pause syndicale !!
La piqûre (suite !)
N'ayant pas pu jouer à soigner les poupées de ses amies, ce soir, Andréa a décidé d'y jouer avec son chien lapchien.
Après avoir ressorti la belle mallette rouge de panoplie d'infirmière qu'elle avait eu comme cadeau de Noël, elle fait monter la brave bête sur la table à langer puis, prenant un coton-tige d'une main et l'otoscope de l'autre, elle lui explique :
- Je vais nettoyer ton oreille et ensuite je vais regarder dedans si tout va bien.
- Wouf !
- Oh la la ! ça ne va pas du tout, il faut que je te fasse une piqûre ! s'écrie-t-elle fouillant dans sa mallette.
- Wouuuuuuuuuuuf ! gémit le lapchien, pas trop rassuré en la voyant brandir une énorme seringue.
À cet instant, Andréb, qui a tout entendu depuis sa propre chambre située juste à côté, entre dans la chambre de sa soeur en secouant un sac de croquettes (aux légumes, les lapchiens étant végétariens !).
Le lapchien en profite pour se laisser rapidement glisser vers le sol.
- Pourquoi tu as fait ça ? Je le soigne et il faut que je lui fasse une piqûre, s'écrie Andréa.
- Comme tu n'es pas une vraie infirmière ni un vrai docteur, et qu'il n'est pas vraiment malade, ce n'est pas grave, rigole Andréb.
- Allez, viens le chien ; tu l'as échappé belle, ajoute-t-il en sortant.
- Comment voulez-vous que je puisse devenir une vraie infirmière ou un vrai docteur si personne ne me laisse soigner quelqu'un, a ronchonné Andréa en rangeant à nouveau ses accessoires dans la mallette.
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Pas de piqûre !
Aujourd'hui, Andréa a invité Sikuaq et Maja à jouer à la poupée après l'école.
Comme toutes les petites filles le font dans ces jeux-là, elles ont fait semblant d'habiller, nourrir, promener et coucher les poupées.
Tout à coup, Andréa s'est écrié :
- J'ai une super idée de jeu !
- Ah, quoi ? demandèrent les deux autres.
- Et si on disait que nos poupées vont chez le docteur, qu'on doit regarder dans leurs oreilles et leur faire une piqûre ? expliqua-t-elle en sortant des instruments de la petite panoplie d'infirmière qu'elle avait reçu en cadeau à Noël.
- Oh non ! je déteste les piqûres, s'est écrié Skuaq.
- C'est pas grave, ça : c'est à nos poupées qu'on dit qu'on en ferait, pas à nous ! répond Andréa.
- Je ne veux pas non plus : mon bébé n'est pas malade et personne ne lui fera de piqûre ! s'est exclamé Maja en serrant fort son poupon contre elle pour le protéger.
Pas de chance pour Andréa : son idée n'a pas eu de succès et elle a dû ranger les instruments dans leur boîte.
Bonne journée :-)
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Les alpinistes et l'écho
Qui sont ces alpinistes qui grimpent courageusement dans la neige et qui ont fièrement vaincu la montagne ?
- Écho...? Échooooooo ? Éééééchoooo ? tu m'entends ? s'est écrié Andréa quand ils sont arrivés au sommet.
- Pffff... s'il ne t'entend pas, c'est qu'il est sourd ! lui dit son frère en riant.
- Arrête, tu vas déclencher une avalanche ! la taquine Qanik.
- Il ne doit pas être là aujourd'hui, on reviendra une autre fois, a conlu Sikuaq (qui semble ne pas avoir compris le principe de l'écho !)
Andréa était un peu déçue de ne pas entendre l'écho lui répondre, mais malgré ça ils ont tous passé une belle après-midi... qui se termina bien sûr avec un grand bol de chocolat chaud et des tartines beurrées !
Bonne journée :-)
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De la fantaisie pour les lutines
Hier, les lutines forestières sont venues me voir pour discuter d'un sujet très sérieux : les bonnets de lutins.
Je venais de faire des chapeaux pointus aux garçons qui en avaient assez de leurs vieux bonnets ramollis qui ne tenaient pas bien droit sur leur tête, comme doit normalement le faire tout bonnet de lutin qui se respecte (tout au moins quand il est neuf, mais par la suite, ça dépend si le lutin est soigneux ou pas).
Et c'est à ce sujet là qu'elles voulaient me parler.
Elles voulaient, elles aussi, avoir des bonnets.
"En faire pour les garçons, mais pas pour les filles, c'est discriminatoire, et tu pourrais avoir des ennuis avec les "woke", m'ont-elles dit !
Oups, je n'avais pas pensé à ça !
Alors, ne voulant pas avoir maille à partir avec les "petits lapins sensibles" qui essaient de refaire le monde en modifiant le dictionnaire et la grammaire, je leur ai fait des bonnets.
Les deux grands-mères, Grandma Malicette et Grand-mère Canaillou, ont demandé des couleurs neutres et discrètes, et Angéla, voulant montrer qu'elle était déjà "une grande fille", a fait la même requête. En ce qui concerne les petites, j'ai choisi de faire des bonnets de couleurs plus ou moins assorties à leurs tenues.
Mais mes petites lutines sont des coquines (rien de nouveau, je pense que vous le saviez déjà !).
Elles ont alors déclaré qu'elles voulaient de la fantaisie parce qu'elles sont comme des fleurs sauvages qui poussent où elles veulent, et non pas comme des fleurs cultivées en pots qu'on replante sagement alignées par couleurs dans les plates-bandes. Oui oui, c'est ce qu'elles m'ont dit ... en échangeant leurs bonnets !
Et voici le résultat :-)
Croyez moi, cohabiter avec des lutins, ce n'est pas de tout repos !!
Bonne journée :-)
♥♥♥
Les bricoleurs
Bien que la tempête de neige fasse rage dehors, Grandpa a annoncé ce matin à ses petits-fils qu'il était temps de commencer à fabriquer des nouveaux nichoirs à oiseaux, et qu'ils allaient l'aider.
- Il vaut mieux toujours s'y prendre à l'avance que de devoir courir au dernier moment, leur a-t-il expliqué.
Le poele ronflait et il faisait bien chaud dans l'atelier quand leur grand-père leur a montré comment découper les morceaux de bois et les assembler.
Janot étant trop petit pour manier un marteau sans risque pour ses doigts, il a eu pour tâche de donner les clous un par un à Grandpa. Ce qu'il a fait très sérieusement.
Nicolas espèrait avoir le droit de peindre les toits.
- Je vais faire très attention, promet-il.
Grandpa fait semblant de réfléchir.
- Bon, d'accord. Mais si on ne veut pas que Grandma se fâche, je crois qu'on va d'abord te mettre une blouse pour protéger tes vêtements, ça sera plus prudent !
Ils ont passé un super après-midi entre bricoleurs ; un de ces moments heureux dont on se souvient toute sa vie.
Bonne journée :-)
♥♥♥
Partie de luge : et tout le monde est heureux !
Contrairement à hier où il neigeait, aujourd'hui il faisait très beau et doux.
C'était la 4e journée de vrai plein soleil seulement depuis novembre, donc à ne pas rater ! surtout que dès demain, il reneige :
Nous en avons profité pour aller faire un belle balade, et les enfants des lutins forestiers en ont profité pour jouer au soleil.
Ici grande soeur et grand frère ont emmené les petits faire un tour en luge.
Janot et Fripette étaient ravis.
Et Grenadine et Roudoudou étaient très contents d'être ensemble.
Certains d'entre vous ont remarqué que Grenadine avait pris la place d'Andréa. C'est exact !
Explications :
Grenadine s'ennuyait en petite fille trop sage parmi les lutins écoliers et Andréa se plaignait de ne pas pouvoir être suffisamment espiègle parmi les lutins forestiers (Grandma la recadrait rapidement !).
Toutefois, ce qui ennuyait Grenadine, c'est qu'elle ne verrait plus son amoureux, Roudoudou, si elle changeait de groupe.
Alors ils se sont tous mis d'accord : Roudoudou a échangé sa place avec un des lutins forestiers, qui s'ennuyait aussi dans les bois (Fripouille le paresseux) et qui est devenu le jumeau d'Andréa.
En images :
Andréa a quitté les bois pour faire la fofolle à l'école :
pendant que Grenadine quittait l'école pour les bois :
Roudoudou a quitté l'école pour retrouver Grenadine dans les bois :
pendant que Fripouille quittait les bois pour devenir le jumeau d'Andréa à l'école :
Et ainsi, tout le monde est heureux !
Plus de détails sur mes 29 lutins ici : http://www.milleet1passions.com/archives/2022/01/07/39303562.html
Pour terminer, si la photo des enfants dans la neige avec la luge vous plaît, vous pouvez la voir en grand format, ou la télécharger, en cliquant ici : IMG_0108_1920 (attention : un abus de neige peut glacer vos écrans !).
Bonne journée :-)
♥♥♥
